Juillet.
Bord de mer.
Sorties rêvées.
Il suffit de se lever tôt.
C'est quand rien ne presse le matin que la tête se met seule et bien volontiers à l'heure du soleil.
Je me lève avec l'aurore.
Le temps de s'hydrater.
La course se fait toute seule. Le corps conscient du privilège.
Pas un chat.
Ah si. Pêche prohibée. Le pêcheur de 6 heures trente n'en a cure et le félin reste aux aguets.
Lundi 7
Côte sauvage. Le même soleil se lèvera dans 6 heures sous les tropiques. On s'y croirait.
Le monde est aux runneurs qui se lèvent tôt.
Les lys maritimes captent déjà les rayons du soleil. Il fera chaud aujourd'hui.
Petit matin jeudi. Les jambes sont lourdes. Demain pause.
La pause du vendredi est bénéfique au samedi.
Je longe le chemin du littoral avec un petit D+ de 250 mètres.
Le temps est idéal. Je cours sans aucun mal et je retrouve les sensations "mythiques" de l'envolée "Icarienne" du Pont de Millau !
La vie est belle !
✪✪✪
Un retour brutal au réel.
La fille d'un ami a eu un grave accident. * - Clic pour connaître l'histoire d'un papa et de sa fille qui ne manquent ni de force, ni de courage -
13 km. Pour digérer l'info.Vite.
Je ne résiste pas à l'envie de partager mon panier de soldes chez I-Run.
Mes nouvelles montures Mizuno rose. Elles m'accompagneront sur mes 42,195 kilomètres du marathon de Toulouse ! - 11 km jeudi de test en grande forme ! -
Dimanche. Encouragée par des rois du bitume, des as du triathlon et des princes des ultra - Je suis bien entourée ! - je teste une autre forme d'effort au cardio en enfourchant le VTT du fiston.
75 km sur le canal du midi. Une expérience à renouveler d'urgence !
* Un article à lire sur la Dépêche pour en connaître un peu plus sur Éric qui s'engage malgré un sérieux chamboulement personnel à courir la No Finish Line de Monaco pour Loïc en novembre prochain !